Ce « portrait au yaourt » est né à la suite d’une série de films qui tentaient de saisir le mouvement de matières glissant sur des corps délibérément morcelés. Apparaît alors un visage. Une tête « sous toutes ses coutures ». Un devenir, des métamorphoses qui évoquent, suggèrent, parlent peut-être d’autres âges, d’autres siècles, d’autres vies-âges, de l’éternel retour, pas du retour du même, pas du pareil au même, mais du singulier, de l’unique.
Lui, celui-là même et personne d’autre.